Il a été constaté par une agence immobiliere Clamart que le prix au mètre carré des appartements anciens a été de 8000 euros en janvier à Clamart, soit plus de 0,8 % sur une année, et moins de 0,4 % sur un trimestre. Cela provient en effet des statistiques publiées le lundi 4 avril dernier par la chambre des notaires de l’Ile-de-France.
La hausse des coûts à venir
Selon les prévisions conclues suite à l’étude des avant-contrats, une hausse annuelle de 1,9 % est à considérer sur le coût du mètre carré des appartements. Cela signifie que le mètre carré pourrait certainement atteindre les 8030 euros en mai prochain, ce qui correspond à presque le double du prix en immobilier à clamart. Concernant les maisons, l’accroissement devrait tourner autour de 2 % à 3 %, en fonction des départements.
Les prix semblent se stabiliser à Clamart
Les prix des logements anciens se sont accrus de 1,1 % sur l’ensemble de la région, de novembre 2015 à janvier dernier. Cela invite effectivement une quasi-stabilité après correction des variations saisonnières. Le volume des ventes demeure soutenu grâce à cette stabilité des prix qui est bien significative. Sur la même durée, le nombre de logements anciens vendus est en hausse de 29 % en rythme annuel. Certes, plus l’offre est proche de Paris, plus la demande est ambulante : une hausse des ventes de 22 % en grande couronne et 33 % en petite couronne, contre 36 % au cœur de Paris.
L’âge des acquéreurs en Île-de-France
Les notaires en Ile-de-France ont étudié l’évolution de l’âge des acheteurs dans leur région sur une période de dix ans. Le résultat met en évidence le fait que la hausse des prix au cours de la dernière décennie a détourné les jeunes acquéreurs de Paris. En effet, en 2005, les moins de 30 ans correspondaient à 17 % des acquéreurs ; et en 2015, ils ne représentaient plus que 14 %. Sur la même durée, la part des plus de 60 ans a évolué de 4 % toujours dans la capitale. Par ailleurs, les jeunes acheteurs sont beaucoup plus importants en grande couronne, et représentent encore 25 % des acheteurs, contre 31 % il y a une décennie.